Selon une étude de la Harvard School of Public Health publiée
dans la revue de l’American Heart Association et qui a suivi pendant 16 ans 25000
professionnels de santé mâles, âgés de 45 à 80 ans, et notamment leurs habitudes
alimentaires auto-déclarées, l’absence de petit déjeuner, qui était déjà
associée au diabète, à l’hypertension, à
l’hypercholestérolémie et à l’obésité, entraînerait également une augmentation de 27% du risque de maladie
coronarienne. Manger la nuit est encore pire : le risque coronarien serait accru de
plus de 50%! Si les heures auxquelles on les prend sont donc d’une
importance cruciale, le nombre de repas semble en revanche sans conséquence sur
le risque cardio-vasculaire. Vous cherchez un généraliste qualifié en nutrition ou un cardiologue du secteur 1? Nous les trouverons près de chez vous!