Au cours de la dernière décennie, plusieurs études
épidémiologiques ont mis en évidence une relation positive entre l’âge du père
au moment de la naissance et le risque d’autisme. Une méta-analyse récente a
estimé que la probabilité d’avoir un enfant autiste est 2,2 fois plus élevée
pour les pères de plus de 50 ans que pour ceux de moins de 30 ans. Une étude
suédoise portant sur plus de 6000 enfants autistes comparés à 31 000 enfants non
autistes a examiné les relations entre l’âge des parents et l’autisme sur deux
générations. Ce travail a confirmé le lien entre l’âge du père et le risque d’autisme (probabilité multipliée par 2,26 après 50
ans) mais il a aussi révélé une relation statistiquement significative entre un
âge élevé du grand-père lors de la naissance de son fils ou de sa fille et la
probabilité d’autisme chez son petit fils ou sa petite fille indépendamment de
l’âge des parents directs. Le risque d’avoir un petit-enfant autiste est multiplié par
1,79 s’il avait plus de 50 ans (par rapport aux hommes de 20 à 24 ans) lors de
la naissance de sa fille et par 1,67 s’il avait plus de après 50 ans au moment
de la naissance de son fils. Le recul de l’âge des pères est donc plus
problématique que celui des mères. A la recherche d’une maternité ou d’un
médecin spécialisé dans le traitement de l’infertilité ? Notre moteur de
recherche vous aidera à trouver ce qu’il vous faut.
épidémiologiques ont mis en évidence une relation positive entre l’âge du père
au moment de la naissance et le risque d’autisme. Une méta-analyse récente a
estimé que la probabilité d’avoir un enfant autiste est 2,2 fois plus élevée
pour les pères de plus de 50 ans que pour ceux de moins de 30 ans. Une étude
suédoise portant sur plus de 6000 enfants autistes comparés à 31 000 enfants non
autistes a examiné les relations entre l’âge des parents et l’autisme sur deux
générations. Ce travail a confirmé le lien entre l’âge du père et le risque d’autisme (probabilité multipliée par 2,26 après 50
ans) mais il a aussi révélé une relation statistiquement significative entre un
âge élevé du grand-père lors de la naissance de son fils ou de sa fille et la
probabilité d’autisme chez son petit fils ou sa petite fille indépendamment de
l’âge des parents directs. Le risque d’avoir un petit-enfant autiste est multiplié par
1,79 s’il avait plus de 50 ans (par rapport aux hommes de 20 à 24 ans) lors de
la naissance de sa fille et par 1,67 s’il avait plus de après 50 ans au moment
de la naissance de son fils. Le recul de l’âge des pères est donc plus
problématique que celui des mères. A la recherche d’une maternité ou d’un
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