Selon une étude de la faculté de médecine de l’université
Johns Hopkins publiée dans l’édition d’octobre du journal Menopause, et portant sur 2500
femmes âgées de 45 à 84 ans, suivies durant 6 ans, celles qui connaissent une ménopause
précoce sont deux fois plus susceptibles de souffrir de maladies coronariennes
et d’AVC que les autres. Cette précocité quelles que soient ses causes (hystérectomie,
hérédité) constitue un facteur de risque à part entière, indépendant des autres
facteurs et justifie une attention particulière à la prévention de leur risque
cardiaque. Parmi les facteurs sur lesquels il est possible d’agir pour retarder
l’échéance, les auteurs citent le tabac, le régime alimentaire et l’exercice.
Johns Hopkins publiée dans l’édition d’octobre du journal Menopause, et portant sur 2500
femmes âgées de 45 à 84 ans, suivies durant 6 ans, celles qui connaissent une ménopause
précoce sont deux fois plus susceptibles de souffrir de maladies coronariennes
et d’AVC que les autres. Cette précocité quelles que soient ses causes (hystérectomie,
hérédité) constitue un facteur de risque à part entière, indépendant des autres
facteurs et justifie une attention particulière à la prévention de leur risque
cardiaque. Parmi les facteurs sur lesquels il est possible d’agir pour retarder
l’échéance, les auteurs citent le tabac, le régime alimentaire et l’exercice.