Le dépistage du cancer du sein est moins contesté que celui de la prostate mais une chose est sûre : un dépistage mal fait n’est pas seulement un gaspillage, il est dangereux. C’est ce que conclut une étude australienne qui s’est attaché à suivre le comportement ultérieur des femmes qui avaient fait l’objet d’un faux positif. Le BreastScreen Western Australia a été évalué pour la
période allant de 1995 à 2007. Au
cours de cette période, 22000 femmes avaient eu un résultat faussement positif ;
parmi elles, 67.6% seulement ont répondu favorablement à la mammographie
suivante pratiquée dans les 27 mois en moyenne. Les données montrent également que sur 10 dépistages qu’une femme subira entre 50 et 69 ans,
un devrait apparaître faussement positif.
période allant de 1995 à 2007. Au
cours de cette période, 22000 femmes avaient eu un résultat faussement positif ;
parmi elles, 67.6% seulement ont répondu favorablement à la mammographie
suivante pratiquée dans les 27 mois en moyenne. Les données montrent également que sur 10 dépistages qu’une femme subira entre 50 et 69 ans,
un devrait apparaître faussement positif.