Aux risques déjà connus de l’usage d’antidépresseurs par
la femme enceinte pour elle aussi bien que pour son enfant (hypertension
notamment), une étude de la Harvard School of Public Health, publiuée dans le BMJ et portant sur plus
de 100 000 femmes prises en charge par Medicaid aux Etats-Unis, vient
ajouter celui d’hémorragie post-partum, une
des principales causes de mortalité maternelle, qui serait augmenté de près
de moitié si les antidépresseurs sont pris pendant la période d’accouchement (de
2,8% à 4%) et de 20% s’ils l’ont été dans le mois qui le précède. Ceci concerne
de manière plus ou moins prononcée toutes les classes d’anti-dépresseurs. Vous
cherchez un psychiatre ou un obstétricien ? Précisez vos besoins et
préférences et laissez notre moteur de recherche le trouver pour vous !