Les Bons Choix Santé s’est récemment associé au manifeste pour la
transparence des données de santé publique qui réunit des chercheurs, des
journalistes, des acteurs du monde associatif et des entreprises privées pour
revendiquer un plus grand accès aux données détenues par les Pouvoirs publics,
ministères et assurance maladie. En effet, ceux-ci détiennent une manne
d’informations relatives à l’utilisation et au fonctionnement de l’offre de
soins en France. Tarifs des professionnels, des produits de santé, des
hôpitaux, informations relatives à la qualité et à la consommation des soins,
rapports d’activité des caisses primaires d’assurance maladie, efficacité des
médicaments, qualité de la prescription… Ces données qui composent le paysage
de l’offre sanitaire sont aujourd’hui quasi inaccessibles aux acteurs du
secteur souhaitant informer les usagers alors que, de notre point de vue, les
services publics le font assez à très mal : données absconses et peu
comparables, fonctionnalités de recherche quasi-inexistantes, etc.Il est
particulièrement savoureux qu’au même moment, la Rand corporation, un think
tank américain, conclut qu’après 7 années d’investissements lourds dans l’e-santé,
les résultats obtenus par les Etats-Unis soient particulièrement décevants : l’adoption lente
des systèmes informatiques par le monde de la santé, le choix de systèmes qui
ne sont ni interopérables ni faciles à utiliser, et la défaillance de
fournisseurs de soins de santé à restructurer les processus de soins pour
profiter pleinement des avantages de l’informatique de la santé et l’absence d’accès
des patients à leurs données de santé qu’à notre connaissance le DMP français n’organise pas.
transparence des données de santé publique qui réunit des chercheurs, des
journalistes, des acteurs du monde associatif et des entreprises privées pour
revendiquer un plus grand accès aux données détenues par les Pouvoirs publics,
ministères et assurance maladie. En effet, ceux-ci détiennent une manne
d’informations relatives à l’utilisation et au fonctionnement de l’offre de
soins en France. Tarifs des professionnels, des produits de santé, des
hôpitaux, informations relatives à la qualité et à la consommation des soins,
rapports d’activité des caisses primaires d’assurance maladie, efficacité des
médicaments, qualité de la prescription… Ces données qui composent le paysage
de l’offre sanitaire sont aujourd’hui quasi inaccessibles aux acteurs du
secteur souhaitant informer les usagers alors que, de notre point de vue, les
services publics le font assez à très mal : données absconses et peu
comparables, fonctionnalités de recherche quasi-inexistantes, etc.Il est
particulièrement savoureux qu’au même moment, la Rand corporation, un think
tank américain, conclut qu’après 7 années d’investissements lourds dans l’e-santé,
les résultats obtenus par les Etats-Unis soient particulièrement décevants : l’adoption lente
des systèmes informatiques par le monde de la santé, le choix de systèmes qui
ne sont ni interopérables ni faciles à utiliser, et la défaillance de
fournisseurs de soins de santé à restructurer les processus de soins pour
profiter pleinement des avantages de l’informatique de la santé et l’absence d’accès
des patients à leurs données de santé qu’à notre connaissance le DMP français n’organise pas.